Cynthia Phibel

Mon travail plastique entre photographie et installation trouve son écriture en l’an 2000.

“Le questionnement du lieu est toujours au cœur de mes propositions.”

Mes premières réflexions s’appuient sur mon entour, le questionnement du lieu est toujours au cœur de mes propositions. Une réflexion sur la société, sa construction, ses mécanismes. Dénonçant certaines constructions mentales qui enferment notre lecture du monde.

Mes premières photographies transportaient des lieux, une « odeur de grand-mère » comme l’écrivait Dany Bébel-Gisler. Les récents autoportraits sont d’une certaine manière imprégnée de ce travail antérieur.

Les femmes et la place qu’elles occupent dans notre société sont au cœur du propos de la dernière série à découvrir bientôt en ligne… A travers cette déclinaison de portraits rendus vivants parfois par le biais de la vidéo,  je traite non pas un sujet, mais le réel en pointant les clichés et stéréotypes  avec gravité ou humour, violence du traitement esthétique de l’image ou poésie, sans jamais pour autant perdre le propos.

Toutefois, il ne s’agit pas de faire de l’image un discours hermétique.

L’image devient un espace de paroles, un outil, un langage qui s’attache à mettre en lecture un regard critique quant aux constructions culturelles qui nous éloignent du réel en le « vampirisant ».

Cette dynamique d’abolition(s) du cadre, des cadres se précipitent dans l’ensemble de mes travaux, ceux sur l’espace intime, ceux sur l’espace publique…

Dans le portfolio en ligne je vous invite à parcourir une partie de mon travail, ce document n’étant pas exhaustif de ma démarche, n’hésitez pas à revenir au cœur son actualité à venir…

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